Vivre sans sexualité il le revendique de plus en plus nombreux chez les trentenaires qui ont joué leur coming out, ils avouent ne pas avoir envie de de faire l’amour.
D’après certaines études, ils serait entre 2,3 – 2,7% de la population et encore plus nombreux si on compte ceux qui n’ont pas fait l’amour depuis les douze derniers mois.
Cela ferait environ 10,8% des femmes et 6,8% des hommes… soit autant de personnes avec une libido au point mort…
Si cela a toujours existé, les asexuels peuvent s’exprimer au grand jour surtout depuis que les mouvements dit « no sex » ont commencé ont émergées au début des années 2000 aux Etats Unis et aux Pays Bas.
Est-ce un fait d’époque ?
Non affirme sure d’elle Peggy Sastre auteur du tout récent No Sex…
Ce n’est pas une tendance mais une manière de vivre, les asexuels ont tout simplement aucun appétit au lit ou tout simplement ils ont d’autres besoins.
En effet toutes les libidos sont dans la nature et certains sont naturellement plutôt tiède en la matière, de fait a la moindre anicroche, chaumage, deuil, déprime, grosse fatigue et leurs sexualités décrochent automatiquement.
Cette baisse peut durer un bon mois jusqu’à l’arrêt total y compris pour ceux qui vivent en couple.
Cette tendance est à l’opposée du dictat du Sexe et de l’Orgasme quand certains s’habillent de manière provocante, racontnte des soirées très hot, font de l’échangism…
En effet, chez les adolescentes le string, la micro jupe, le maquillage son devenus quasiment la norme… ce qui ne les empêche pas d’être très sage.
Le sexe serait donc passé de tabou a totem avec pour effet paradoxal de freiner certains car trop de sexualité, trop de sexe tue le sexe.
Les asexuels refusent une sexualité trop facile qui parce qu’elle va trop vite en besogne fini par maltraiter le désir car le désir est bel et bien au cœur de la quête des asexuels que ce soit sa transformation, son transfert, sa frustration…
A vous de trouver le juste milieu entre frénésie et abstinence…
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