Un lieu troublant, un partenaire classé X, un scénario charnel et sensuel, les rêves érotiques émoustillent, provoquent ou stimulent, ils suscitent débats et confidences.
Psychanalyste, Sexologue, Thérapeute et médecin en tout genre abordent ses songes comme un équilibre psychique nécessaire à tous. Ils incitent à prêter attention aux messages ainsi délivré par notre inconscient libéré de tout tabou.
Quatre a cinq fois par nuit en moyenne, notre inconscient échafaude des scenarios incroyables mettant en scène des situations imaginaires souhaités, redoutés.
Les rêves érotiques nous place au cœur de fantasmes que nous aurions bannit dans la réalité, les chiffres référant sont étonnant, 8% – c’est la place occupée par le sexe dans nos rêves et 4% de nos rêves érotiques aboutiraient a un orgasme, de quoi faire pâlir de jalousie nos partenaires.
Fruit d’un processus physique d’une excitation nocturne qui se produit et auquel le cerveau lui associe des images – les rêves érotiques. 4-5 fois par nuit, notre sexe se livrerait à une gymnastique d’entretien.
Erection chez l’homme et lubrification vaginale chez la femme, la montée de sang dans cette zone maintenant les vaisseaux sanguins en bonne état de marche.
Nos rêves érotiques n’auraient ainsi aucune signification particulière, seulement un phénomène physiologie naturelle.
Des clés communes sont néanmoins donne par des spécialistes, Tristan Fréderic Moirt, psychanalyste classerait les rêves érotiques en 2 catégories parce qu’il s’agit d’un songe avec pénétration explique t-il, il s’agit d’un manque.
La libido n’est pas complètement épanouie et la personne éprouve le besoin de rapport plus satisfaisante ou plus nombreux, c’est un phénomène de compensation, mais le plus souvent souligne t-il, il s’agit de rêve érotique soft – rencontre, enlacement, baiser, ce sont dans ce cas des rêves qui traduit un bienêtre avec les autres mais aussi avec soi même, et a l’inverse, certains rêves normaux, non-érotique dissimule des désirs érotiques et ceux parce que les désirs érotiques ont été réprimé dans la vie civilisé.
Pour Sandrine Collard, sexologue, nous n’avons a porter de jugement sur nos rêves érotiques, ni a nous offusquer de leurs contenus car ils nous permettent d’accéder aux replis les plus mystérieux de notre subconscient.
Même nos pire cauchemars sont de bon rêve si nous somme capable de les passer aux cribles et de les utiliser comme des révélateurs.
Nous obtenons ainsi gain de cause face a notre subconscient parfois très soucieux de verrouiller les informations concernant notre sexualité, de maintenir inavouable le certains de notre phycologique.
Nul doute qu’a travers ce travail sur nous même et sur l’étude de nos rêves, nous aurons tout a gagner, a découvrir, a épanouir notre sexualité avec une parfaite ouverture d’esprits et une grande tolérance sont les conditions sinéquanone pour le succès de notre démarche.
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